Histoire du « Nouvel ordre mondial » (2émé partie)

Publié le par Mahi Ahmed

 
 

Histoire du « Nouvel ordre mondial » (Suite)

 

Par Pierre Hillard

Bibliographie

 

[1] « U.S move sows confusion in EU », par Charles Forelle, The Wall Street Journal, 2 février 2010.

[2] Site officiel de l’Eurasec.

[3] « L’Union douanière, créée par la Russie, le Kazakhstan et la Biélorussie », dossier de Ria Novosti.

[4] « Eurasie : le président kazakh prône la création d’une monnaie unique, l’evraz », Ria Novosti, 11 mars 2009.

[5] « CEEA : la création d’une monnaie unique au menu d’entretiens russo-kazakhs », Ria Novosti, 14 mars 2009.

[6] Site officiel de l’UNASUR.

[7] Le 26 novembre 2008, lors d’une réunion à Caracas, quelques pays d’Amérique du Sud ont décidé de préparer le terrain en créant le « Fonds de stabilisation et de réserve » ; c’est-à-dire une unité de compte appelé « SUCRE » (Système Unitaire de Compensation Régionale). Cette unité de compte fait référence aussi à Antonio José de Sucre (1795-1830) qui fut lieutenant au service de Simon Bolivar.

[8] Page officielle de l’Assemblée Parlementaire Euro-Latino Américaine.

[9] Site officiel du SICA.

[10] Site officiel de l’Union africaine.

[11] Site officiel du NEPAD.

[12] Description de l’Union africaine sur le site du ministère français des Affaires étrangères.

[13] Site officiel du GCC.

[14] « Proposed GCC currency name ‘too general’ », Trade Arabia, 16 décembre 2009.

[15] « La Chine espère populariser le yuan au sein de l’Asean », Les Echos, 31 décembre 2009.

[16] Site officiel du PSP.

[17] La marche irrésistible du nouvel ordre mondial, par Pierre Hillard (Editions François-Xavier de Guibert, 2007), p. 21.

[18] Ibid., pp. 86-87

[19] La décomposition des nations Européennes : De l’union euro-Atlantique à l’Etat mondial, par Pierre Hillard (Editions François-Xavier de Guibert, 2005), p. 137 et La marche irrésistible du nouvel ordre mondial, op. cit, p. 79.

[20] « Résolution du Parlement européen sur l’état des relations transatlantiques après les élections qui ont eu lieu aux États-Unis » (2008/2199(INI)), Réseau Voltaire, 23 mars 2009.

[21] « La Russie et la Chine proposent une monnaie commune globale », Réseau Voltaire, 11 juillet 2009.

[22] La revue The Economist de janvier 1988 annonçait le lancement d’une monnaie mondiale appelée « phénix » pour 2018. Nous sommes dans les temps.

[23] « Discours d’acceptation », par Herman von Rompuy, Réseau Voltaire, 19 novembre 2009.

[24] Les revendications ethniques et religieuses ainsi que l’opposition entre régions riches et régions pauvres accélèreront la décomposition des Etats dans le monde. Ce phénomène s’explique en particulier en raison du transfert de l’autorité suprême à des unions politiques régionales au dépens des Etats qui n’ont plus leur raison d’être. La dislocation des Etats sera planétaire. Déjà, certains dirigeants des Etats fédérés US du Texas et du Vermont souhaitent faire sécession. En ce qui concerne l’Europe, la Belgique avec la Flandre ou l’Espagne avec la Catalogne constituent des risques majeurs. Ces revendications régionalistes conduisant au morcellement des Etats sont nécessaires pour aboutir à la réalisation du nouvel ordre mondial.

[25] Jusqu’au début janvier 1973, la France partageait le droit de créer de la monnaie avec les banques privées. Pour financer la construction de logements sociaux par exemple, l’Etat empruntait auprès de la banque centrale qui créait pour l’occasion cette monnaie. Par la suite, l’Etat remboursait l’emprunt tandis que la banque détruisait cet argent ; mais, point capital, sans faire payer d’intérêts. Or, l’Etat s’est interdit d’emprunter auprès de la banque centrale avec l’article 25 de la loi Pompidou-Giscard d’Estaing du 3 janvier 1973. Il se prive donc de la création monétaire sauf s’il s’adresse auprès d’acteurs privés qui, eux, font payer des intérêts au prix fort. Par conséquent, cette politique empêche toute politique sociale véritable rendant les investissements publics hors de prix et entraînant par la même occasion l’augmentation de la dette publique. Ce principe inscrit dans le Traité de Maastricht (1992) à l’article 104 a été transposé à l’article 123 dans le Traité de Lisbonne. Les Etats de l’UE sont donc totalement tributaires de l’oligarchie financière.

[26] Une large partie de ce chapitre s’appuie sur les travaux de l’historien américain Carroll Quigley (1910-1977) professeur entre autres à l’université Georgetown : The anglo-american Etablishment, GSG § Associates, 1981. Il fut en particulier le professeur de … Bill Clinton.

[27] Le lancement en juillet 2009 d’un projet de panneaux solaires en Afrique du Nord et au Proche-Orient devant irriguer en énergie l’Europe se fait dans le cadre de « Desertec ». La branche allemande du Club de Rome, le centre aéronautique et aérospatial allemand et le prince Hassan bin Talal de Jordanie ont fortement contribué au projet. Indirectement, cette politique énergétique va contribuer à intégrer encore plus largement ces Etats Sud-méditerranéens à l’Union européenne et, dans la foulée, à l’axe euro-atlantique dans le cadre de l’interdépendance.

[28] C’est le cas du « Corridor de Nasco » avec l’émergence d’un bloc Nord-américain.

[29] Les bénéficiaires des bourses d’études Cecil Rhodes aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Australie, en Afrique du Sud etc sont présentés sur les sites internet de ces différentes écoles.

[30] A partir de la deuxième moitié du XIXè siècle, l’équipe de Cecil Rhodes contrôlait le Times de Londres, journal réservé aux élites politiques et économiques britanniques qui, elles aussi, étaient pour la plupart membres de cette vaste aristocratie commerciale. Cela s’appelle travailler en circuit fermé.

[31] Anglo-american Etablishment, op. cit, p. 169.

[32] L’expression « groupe Milner » est utilisée pour évoquer les personnages politiques, économiques, militaires et journalistiques acquis aux idéaux d’Alfred Milner et de son mentor, Cecil Rhodes.

[33] Ibid., p. 133.

[34] Nous nous appuyons sur les travaux de Edward R. Pease, The History of the Fabian Society (EP Dutton and Company, 1916), ouvrage souvent réédité.

[35] Site officiel de la Fabian Society.

[36] Robert Owen s’appuyait sur les principes du philosophe Platon, en particulier son ouvrage La République, défendant l’idéal d’une société aristocratique dirigée par l’élite, éliminant le mariage tout en favorisant la reproduction des meilleurs. Cette théorie a fait des petits. On retrouve ces concepts dans Le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley, 1984 d’Orwell ou encore dans certains ouvrages d’Herbert George Wells, membre dirigeant de la société fabienne.

[37] L’université d’Oxford est devenue un des foyers de recrutement des élites grâce aux « bourses d’études Cecil Rhodes » pour la Grande-Bretagne.

[38] Gardons à l’esprit que tout est lié.

[39] Au début du XXIè siècle, 200 députés britanniques appartiennent à la société fabienne comme l’ancien Premier ministre Tony Blair (promoteur de la politique économique appelée la « 3è voie », principe fabien par excellence) ou Gordon Brown.

[40] Il semble ne pas y avoir trouvé satisfaction.

[41] Ouvrage paru en 1928, réédité en 1931 sous le titre What are we to do with our Lives ?.

[42] The War That Will End War, par H. G. Wells. Version française : La destruction libératrice, réédité aux Editions Le passé du futur, Grama, Bruxelles, 1995, p. 214.

[43] Ibid., p. 134 : « Ce fut dans une ambiance légèrement incrédule que démarra la réunion qui devait instaurer le nouvel ordre mondial ».

[44] The New World Order, par H.G Wells, réédité par Filiquarian Publishing, LLC, en 2007.

[45] La plupart des responsables économiques de l’administration Obama sont issu de la Pilgrim Society.

[46] Voir The Anglo-American Etablishment, op. cit, p. 82 et pages 117 et suivantes.

[47] Site officiel de la Round Table.

[48] L’entreprise JP Morgan, pilier de la finance anglo-saxonne, fut fondée par John Pierpont Morgan (1837-1913).

[49] Voir les ouvrages de l’extraordinaire Antony Sutton (1925-2002), chercheur à l’institution Hoover et à l’université Stanford, décrivant le soutien de Wall Street aux trois éléments suivants : Wall Street and the bolshevik revolution, Arlington House, 1974 ; Wall Street and FDR (ndlr : Franklin Delano Roosevelt) et Wall Street and the rise of Hitler. Il faut ajouter aussi cette série en trois volumes : Western technology and soviet economic development 1917-1930 ; Western technology and soviet economic development 1930-1945 et Western technology and soviet economic development 1945 to 1965 prouvant à partir d’une documentation de première main le soutien économique et financier de l’occident à l’Union soviétique et à ses affidés.

[50] Nous invitons le lecteur à s’intéresser à Basil Zaharoff (1850-1936) qui fit fortune en vendant des armes aux acteurs du conflit de 1914-1918.

[51] Wall Street and the bolshevik revolution, op. cit, p. 57.

[52] Ibid., pp. 83.

[53] Ibid., p. 82. Il est intéressant de noter que Harry Hopkins (1890-1946) qui devint plus tard l’éminence grise du président Roosevelt, fut l’intermédiaire entre la Croix-Rouge états-unienne dirigée par William Boyce Thompson à Petrograd en 1917 et sa représentation à Washington in Ibid., p. 72.

[54] Ibid., pp. 89-100. Le mémorandum de William Boyce Thompson présenté à Lloyd George peut être lu en entier à la page 197 et suivantes au paragraphe intitulé « Document 4 ».

[55] Pétrole, une guerre d’un siècle, par William Engdahl (Editions Jean-Cyrille Godefroy, 2007), p. 94 et suivantes.

[56] Wall Street and the rise of Hitler, op. cit, voir les chapitres de 1 à 5 en particulier page 47.

[57] The anglo-american Etablishment, op. cit, p. 182.

[58] Outre la Grande-Bretagne et ses dominions, Lionel Curtis n’hésitait pas à y ajouter : la France, les pays scandinaves, l’Irlande, l’Egypte, l’Inde, la Belgique, les Pays-Bas, le Canada et les Etats-Unis. Ces projets ont été présentés dans son livre paru en une seule édition en 1938 : The Commonwealth of God in The Anglo-American Etablishment, op. cit, pp. 282-283.

[59] Union Now : A Proposal for a Federal Union of the Democracies of the North Atlantic, par Clarence Streit (Harper & Brothers Publishers, 1939).

[60] The Anglo-American Etablishment, op. cit, p. 283.

[61] « Comment le Conseil des relations étrangères détermine la diplomatie US », Réseau Voltaire, 25 juin 2004.

[62] Le président Wilson l’appelait son « alter ego ».

[63] Wall Street and FDR, op.cit, p. 92 et suivantes.

[64] Voir notre livre La Marche irrésistible du nouvel ordre mondial, op.cit, p. 14 et pp. 80-81. Philip Dru, administrator, par Edward Mandell House, réédition Robert Welch University Press, 1998.

[65] La Paneurope, par Anne-Marie Saint Gille (Presses de l’université de Paris Sorbonne, 2003), pp. 130-131.

[66] L’engagement d’Aristide Briand au côté de la Paneurope acquise aux principes fédéralistes et régionalistes dans un cadre politique mondial unifié permet de mieux comprendre le discours du représentant français à l’Assemblée générale de la Société des Nations, le 5 septembre 1929, appelant à un « lien fédéral » entre les Etats européens.

[67] Le représentant anglais lors de ce congrès paneuropéen de 1926, A. Watts, était membre du Royal Institute of International Affairs issu du « groupe Milner » in La Paneurope, op. cit, p. 148.

[68] « Richard de Coudenhove-Kalergi (1894 -1972) », site internet de l’association PanEurope-France.

[69] La Paneurope a joué un rôle déterminant dans l’élaboration de tous les textes en faveur de la protection des groupes ethniques. Voir notre ouvrage Minorités et régionalismes dans l’Europe Fédérale des Régions (Editions François-Xavier de Guibert, 4è édition, 2004) et dans ce livre, le chapitre intitulé « L’union Charlemagne » p. 75 et suivantes.

[70] « Richard Coudenhove-Kalergi » sur le site internet de l’European Society Coudenhove-Kalergi.

[71] Site officiel de l’association Paneuropa.

[72] Lire son discours prophétique à l’annexe 11 de La Décomposition des nations européennes ; en particulier le passage où Coudenhove appelle à l’instauration d’une « union atlantique », une « Fédération à trois » selon son expression, « l’Angleterre étant le pont entre l’Europe et l’Amérique ». C’est exactement ce qui est poursuivi par les instances de Bruxelles et de Washington d’une manière accélérée depuis 1990. Voir la liste complète des bénéficiaires du Prix Charlemagne sur le site du Comité.

[73] Wall Street and the rise of Hiter, op. cit, chapitre 2 « The Empire of IG Farben », p. 33.

[74] Wall Street and the bolshevik revolution, op. cit, pp. 125-126.

[75] Ibid., p. 126.

[76] Ibid., p. 60.

[77] Ibid., pp. 61-62

[78] Ibid., p. 50.

[79] Il faut ajouter aussi que Hjalmar Schacht est à l’origine de l’existence de la Banque des règlements internationaux (Bank of International Settlements). Antony Sutton relate aussi la réunion déterminante du 20 février 1933 dans la demeure d’Hermann Goering qui permit, en présence d’Adolf Hitler, de lever des fonds pour le financement du parti nazi. Les plus grands patrons de l’industrie allemande étaient présents et ont aligné les sommes nécessaires (Krupp von Bohlen, Albert Voegler, von Loewenfeld, …) ; le tout se faisait sous la direction d’Hjalmar Schacht in Wall Street and the rise of Hitler, op. cit, p.108.

[80] Antony Sutton évoque entre autres l’influence déterminante de Gerard Swope (1872-1957), président de General Electric Company, qui permit la politique socialisante du président Roosevelt in Wall Street and FDR, op.cit, p. 86.

[81] Carroll Quigley explique entre autres les infiltrations au sein de l’appareil politique états-unien de la part de JP Morgan in Tragedy and Hope. A History of the World in Our Time (GSG and Associates, 1966), p. 938.

[82] Le Premier ministre anglais a tenu des propos dans son discours de Zürich qui sont dans la droite ligne du mondialisme à en juger ces extraits : « (…) L’Union européenne a fait beaucoup pour arriver à ce but et ce mouvement doit beaucoup au comte Coudenhove-Kalergi et à ce grand patriote et homme d’Etat français que fut Aristide Briand (…). Nous autres Britanniques, nous avons le Commonwealth. L’organisation du monde ne s’en trouve pas affaiblie, mais au contraire renforcée et elle y trouve en réalité ses maîtres piliers. Et pourquoi n’y aurait-il pas un groupement européen qui donnerait à des peuples éloignés l’un de l’autre le sentiment d’un patriotisme plus large et d’une sorte de nationalité commune ? Et pourquoi un groupement européen ne devrait-il pas occuper la place qui lui revient au milieu des autres groupements et contribuer à diriger la barque de l’humanité ? (…). Appelant à une réconciliation franco-allemande, Churchill ajoute dans un esprit fabien : « Il faut que notre but permanent soit d’accroître et de renforcer la puissance de l’ONU. Il nous faut créer la famille européenne en la dotant d’une structure régionale placée sous cette organisation mondiale, et cette famille pourra alors s’appeler les Etats-Unis d’Europe » (…) in George C. Marshall, Points de repère, Lausanne, 1973

[83] L’influence fédéraliste se fit sentir par l’intermédiaire d’Européens convaincus comme Denis de Rougemont, Henri Brugmans et Alexandre Marc.

[84] Côté états-unien, dès 1924, Rosika Schwimmer et Lola M. Lloyd défendant la cause des femmes (droit de vote, etc) organisèrent la première assemblée constituante mondiale devant être élus par les peuples afin de rédiger une constitution mondiale. Cette initiative fut relancée en 1937 à Chicago avec une campagne en faveur d’un gouvernement mondial. Il serait très intéressant de savoir qui finançait de tels projets. Par la suite, d’autres Etats-uniens préparèrent les esprits en faveur d’un monde uni : Emery Reves, auteur de Anatomy of Peace défendant l’idée d’un gouvernement mondial (il fut aussi l’agent littéraire de Winston Churchill) ; le politicien Wendell Wilkie avec son livre One World ; l’avocat Clark Grenville auteur de World Peace through World Law ; le journaliste Norman Cousins ; le journaliste et sénateur démocrate Alan Cranston et le philosophe Robert Hutchins.

[85] Présentation du World Federalist Movement sur son site internet.

[86] Déclaration de Montreux du 23 août 1947.

[87] Voir notre livre La Fondation Bertelsmann et la gouvernance mondiale (Editions François-Xavier de Guibert, 2009), pp. 95-96 et « Geschichte der Europa-Union Deutschland sur le site internet de Europa Union Deutschland.

[88] « The history of Federal Union » sur le site internet de l’association.

[89] « Regional Federalism » sur le site internet du World Federalist Movement.

[90] Site officiel d’Andrew Duff.

[91] « ECFR’s Board and Council » sur le site internet de l’European Council on Foreign Relations.

[92] « Création accélérée d’un Conseil européen des relations étrangères », Réseau Voltaire, 3 octobre 2007.

[93] La Fondation Bertelsamann et la gouvernance mondiale, op. cit, p. 92 et suivantes.

[94] « Trustees » sur le site internet du Rhodes Trust.

[95] Parmi les nombreux participants, nous pouvons relever Richard de Coudenhove-Kalergi, Konrad Adenauer, Denis de Rougemont, Alcide de Gasperi, François Mitterrand, etc.

[96] « Histoire secrète de l’Union européenne », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 juin 2004.

[97] Une exception toutefois ; RTL Belgique a diffusé lors de son journal télévisé l’extérieur de la réunion du Bilderberg en juin 2000 lors de sa réunion à Genval dans le Brabant wallon. On peut y apercevoir Dominique Strauss-Kahn ou encore la reine Béatrix des Pays-Bas.

[98] « Top candidate debates EU tax at elite dinner », par Andrew Rettman, EU Observer, 16 novembre 2001.

[99] Le film Avatar de James Cameron sorti en décembre 2009 est le prototype même de l’esprit « gaïa ». Une tribu parée de nombreuses qualités par rapport aux humains venus exploiter leur planète tire leur force de la nature, plus précisément d’un arbre, véritable dieu qui donne l’énergie comme il l’a reprend.

[100] Thomas Huxley était appelé le « bouledogue de Darwin ».

[101] « H.G. Wells : Darwin’s disciple and eugenicist extraordinaire », par Jerry Bergman, in Journal of Creation, décembre 2004.

[102] « WWF in the 60’s » sur le site internet du World Wild Fund.

[103] « Presidents - past and present » sur le site internet du World Wild Fund.

[104] Le Figaro, 25 janvier 1999.

[105] Voir p. 137 (chapitre 28).

[106] « Peter Sutherland, Directeur général du GATT et de l’OMC de 1993 à 1995 », sur le site internet de l’Organisation mondiale du Commerce.

[107] « Peter Sutherland », sur le site internet de la Commission trilatérale.

[108] « Membership », sur le site internet de la Commission trilatérale.

[109] Parmi les nombreux domaines participant à l’édification du nouvel ordre mondial, nous pouvons évoquer le cas du Codex alimentarius dont l’objectif est de procéder à des modifications ou à des suppressions de produits entrant dans la composition alimentaire (vitamines, minéraux, …).

[110] Texte intégral sur le site internet du Saint-Siège.

[111] Ibid., voir les paragraphes de 130 à 145.

[112] « Message Urbi et Orbi du Saint-Père Benoît XVI », 25 décembre 2005, Vatican.

[113] Texte intégral sur le site internet du Saint-Siège.

[114] Ibid., paragraphe 67.

[115] Site officiel de la Campagne pour la création d’une Assemblée parlementaire des Nations Unies.

[116] The case for a United Nations Parliamentary Assembly, par Dieter Heinrich, World Federalist Movement, octobre 1992

[117] Site officiel du Komitee für eine Demokratische UNO.

[118] « Comité exécutif » de la Campagne pour la création d’une Assemblée parlementaire des Nations Unies.

[119] Cet institut allemand est à l’origine des textes clefs en faveur des groupes ethniques en Europe ; la Charte des langues régionales ou minoritaires et la Convention-cadre pour la protection des minorités. Voir notre livre Minorités et régionalismes, op. cit. p. 142 et suivantes.

[120] Site officiel de 2020 Vision.

[121] « Satzung für das Komitee für eine demokratische UNO ». Document téléchargeable.

[122] « Associates des KDUN », sur le site internet du Komitee für eine Demokratische UNO.

[123] Rapport sur les relations entre l’Union européenne et l’organisation des Nations Unies [2003/2049 (INI)], rapporteur Armin Laschet, 16 décembre 2003.

[124] Signalons aussi la présence de Hans-Gert Pöttering au sein du comité directeur du Prix Charlemagne, président de la Fondation Konrad Adenauer, ancien président du Parlement européen mais aussi ancien président de Europa Union Deutschland, filiale de l’Union des fédéralistes européens (l’UEF créée à Montreux en 1947) dirigée en 2010 par le député anglais au Parlement européen Andrew Duff.

[125] Voir La Fondation Bertelsmann et la gouvernance mondiale, op. cit, p. 93 et suivantes.

[126] Internationale Demokratie entwickeln, par Andreas Bummel, Horizonte Verlag, 2005.

[127] « Andreas Bummel Der Vorsitzende des Komitees für eine demokratische UNO », par Gerrit Wustmann, 11 février 2008.

[128] « A propos du projet APNU », sur le site internet de la Campagne pour la création d’une Assemblée parlementaire des Nations Unies.

[129] « Etude : la création d’un Parlement mondial serait « pleinement en harmonie avec la doctrine papale » », 28 juillet 2009, Campagne pour la création d’une Assemblée parlementaire des Nations Unies.

 

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